Nul ne peut obliger personne à s'arrêter ou à lui parler.
Je m'estime heureuse lorsque quelqu'un m'accorde quelque parole et quelques secondes de son précieux temps!
Je ne fais pas prier pour accorder mon temps à qui le nécessite.


Je ne retiens personne lorsque quelqu'un veut partir, mais personne ne peut m'empêcher de penser aux beaux inconnus entrevus quelques secondes ou quelques semaines et si je devais leur dédier poèmes ou chansons ce serait "toi le frère que je n'ai jamais eu!" de Maxime Le Forestier.

 

tag, 04 juillet 2005 à 20:22

 

JE VOUS AIME BON ETE

 

à plus tard, en automne, lorsqu'a lieu la migration...

 

Une passante