Réflexion du 25 septembre 2017

Fleur, je suis joignable sur blownblue arobace gmail.com.
N'hésite pas.
Je ne suis pas un bon correspondant, mais pour toi je ferai un effort.
A +
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je note Blownblue, pour envoyer des mails et les recevoir il faut être connecté et c'est ce qui me manque le plus.
Mais je note.
Et j'aime les efforts amicaux!

mais tu es connectée puisque tu réponds... non ?...

Oui je suis connectée car je ne suis pas dans mon ermitage où je reviendrai bientôt. En ce moment je suis en repos en un lieu où je peux traiter mes affaires de jeune veuve! Ensuite je retournerai dans ma zone blanche, là je n'ai pas internet.

J'espère que tu trouveras un moyen de te connecter au net de temps en temps quand même...

J'ai vu ta note sur un autre de mes blogs, il est encore en construction, je pense que comme toi, j'ai du mal à le faire parce que l'ouvrir me file la nausée... ce côté "retourner la boue de la marre" je suppose.

Je publierai ma chronique dedans dès que j'aurai fini le styliser le blog et qu'il sera lisible, tu as pu voir que ce n'est pas vraiment le cas là maintenant.

oui j'espère pouvoir de temps en temps.

retourner la boue, yes, la prochaine fois que je viens faire un stage ménage et chantier, j'enfile ma tenue isotherme de plongée et mes bottes d'égoutier!
le "ludique" de la situation m'aidera peut-être à diminuer le mal de mer que je ressens, je ne sais pas si ce côté ludique apparaîtra aussi marqué à mes petites-filles chéries si je leur propose une immersion dans mon sweet home! mettre la main à la pâte ou dans la boue, c'est plus leur objectif number one d'ados!

J'espère retrouver la motivation pour beaucoup de choses, mais dans un certain temps, il faut donner du temps au temps.
Bref la patience est le troisième maître mot après les mots "amour" et "miséricorde"!

J'aime à te croiser ici. J'aime que cette plateforme reflète nos vies bancales, nos essais, nos errances, nos semi-victoires, nos maux et nos cheminements. Foisonnements atypiques?
non!
le monde entier est en souffrance d'accouchement.

Je pense soudain au "soulier de satin", pièce de Claudel

Paul Claudel lui-même commenta : « La scène de ce drame est le monde ».

Publiez, publions!

"L'ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de l'imagination."
l'ordre émerge-t-il du chaos?

[je ne peux m'empêcher!!!
déformation professionnelle]

ici réel et virtuel s'embrassent, s'enchevêtrent, tissent la toile de nos relations si écorchées et si "vivantes"
non pas désespérées, certainement pas!
vivantes, rudes, poétiques, créatrices, exacerbées, pudiques, contraintes ou libérées, procastinatrices

nous sommes des cris ou des "youyou" jetés au vent des tribulations sur la mer des désirs et des frustrations, nos combats sont durs et vrais, uniques et universels
nous sommes l'humanité boitante qui a laissé l'un de ses souliers au pied de la plateforme, et nous y revenons périodiquement, échappés de la voie lactée, boitant, oui, pour nous y ressourcer.