je ne prends jamais la décision de quitter autrui, surtout lorsque je n'en ai pas envie
que celui (ou celle ou ceux) qui veut partir prenne sa décision, une vraie décision où "non" soit véritablement "non"!
pas de fins de non recevoir discrètes ou semi-voilées, je suis une buse, je ne comprends que ce que l'on me dit clairement
je n'endosse jamais la culpabilité d'autrui, jamais depuis qu'on m'a fait le coup à l'âge de mes 11 ans

tant pis pour ceux qui trainent inutilement derrière mon sillage

il n'empêche que je vais de l'avant!

 

(réactions épidermiques au texte d'Aurora)

que je ne trouve en rien déséquilibré

il dit cette femme autant que cet homme (ce n'est pas le nombre de mots ou de phrases qui compte)
 

l'écrivain ou l'écrivant pourrait être aussi bien un homme qu'une femme, ça ne change rien à l'histoire que nous lisons:
la personne qui écrit rapporte plutôt les réactions d'un homme, c'est lui qui se trouve "sous les feux" du projecteur donné par la personne qui écrit,

ce texte brosse le portrait d'un faible ou d'une personne lâche qui ne sait prendre ses décisions, et pourrit peu à peu la vie d'autrui (de cette femme en particulier) comme la sienne (il commence légèrement à s'en douter)
 
pour lui les arnaques seront désormais à tous les coins de rue comme au bout de beaucoup de tunnels.

la femme de cette histoire est vue ou "dite" à travers tout ce que l'on dit de lui et tout ce qu'il dit ou pense d'elle

nous avons donc bien le portait de deux personnes, de leurs relations et d'une situation désabusante ou pour le moins hasardeuse pour lui, désolante pour elle.