pregaria Juan Urteaga (extrait 41 secondes en boucle)

j'écoute

Il émane de cette musique tant de douleur acceptée, tant de souvenirs qui n'ont pas eu le temps de se déployer, de s'épanouir pour  faire véritable souche

c'est ce qui me fait pleurer et je crois que même sans partitions, je pourrais en retrouver les "mots" et les "larmes" sous mes doigts

le basque aime chanter dans tous les moments de sa vie
tous

ainsi chante et chantera mon âme basque dans la joie comme dans la douleur...

 

une autre façon de faire mon, mes deuils...

 

je passerai trois heures cet après-midi à l'orgue

 

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